On voudrait nous faire croire à une génération « Y » voire « Z » aux caractéristiques si « particulières », et si « nouvelles » :

• des difficultés à respecter les règles,

• une envie forte d’autonomie rapide,

• un investissement variable selon leur envie,

• des problèmes relationnels avec leur hiérarchie

• etc…

Mais si ces critères sont « vrais », on a un problème de date : elle est née bien avant 1980 puisque son principal Ambassadeur qui correspond pleinement à la totalité de ces derniers, c’est…

Gaston LAGAFFE !

(qui débarque dans la Journal de Spirou en  février 1957)

Si j’ajoute que cette citation :

«Notre jeunesse est mal élevée. Elle se moque de l’autorité et n’a aucune espèce de respect pour les anciens. Nos enfants d’aujourd’hui ne se lèvent pas quand un vieillard entre dans une pièce. Ils répondent à leurs parents et bavardent au lieu de travailler, se moquent de l’autorité et n’ont aucun respect pour l’âge. À notre époque, les enfants sont des tyrans»

est de … Socrate (470 – 399 av J.C),

je me dis que le regard désabusé (voire négatif) d’une génération sur la suivante ce n’est pas nouveau !

En revanche les exigences vis-à-vis du management de nos enfants (qui n’accepteront jamais d’être managés comme nous l’avons parfois étés) conduisent bon nombre de managers à une remise en question et une nécessite de progrès, qui elle, est réellement intéressante :

https://www.linkedin.com/pulse/comment-les-g%C3%A9n%C3%A9rations-y-z-et-suivantes-vont-faire-enfin-michel?trk=mp-author-card